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Chaque automne, les diplômés et diplômées de la Faculté de gestion Desautels reviennent sur le campus pour reprendre contact avec leurs camarades, se remémorer des souvenirs et rencontrer la prochaine génération de chefs d’entreprise, qui arpentent aujourd’hui les mêmes couloirs qu’eux. Cette année, les Retrouvailles ont mis en lumière tout ce qui rend la Faculté de gestion Desautels de l’Université º£½ÇÉçÇø unique : une formation de classe mondiale, des retombées partout dans le monde et une communauté de plus en plus solide au fil du temps.

Nos diplômés et diplômées redonnent

Avant même que les Retrouvailles ne soient officiellement lancées, nos diplômés et diplômées ont apporté leur expertise en classe et lors d’activités étudiantes.

Les étudiants et étudiantes de Gestion de capitaux Desautels (une société de placement enregistrée dirigée par le corps étudiant) ont proposé leurs recommandations de placement à des leaders du secteur privilégiés, qui étaient aussi des diplômés et diplômées de l’Université. Ces chefs d’entreprise leur ont présenté des commentaires constructifs et leurs points de vue sur le milieu. Plus tard ce jour-là, Steven Sonnenstein, B. Com. (1996), diplôme en comptabilité publique (1998), directeur général principal à DigitalBridge Investment Management, s’est joint au professeur Philippe Levy, MBA (1990), dans le cadre du cours ACCT 463 pour une séance spéciale sur le contrôle de gestion. S’appuyant sur plus de 25 ans d’expérience dans les domaines des fusions et acquisitions et des investissements dans l’infrastructure, M. Sonnenstein a expliqué comment les systèmes de contrôle de gestion façonnent les décisions stratégiques dans les organisations complexes. Il a souligné l’importance d’aligner la surveillance financière sur les objectifs de croissance à long terme en illustrant comment ces principes sont mis en pratique. La discussion a révélé comment l’expertise des personnes diplômées fait le pont entre la théorie et ses applications dans le monde réel. Ainsi, les étudiants et étudiantes obtiennent des perspectives précieuses qui s’étendent au-delà de la salle de classe.

Célébration des 50 ans

Le jeudi, l’attention s’est tournée vers les cohortes de 1975 du baccalauréat en commerce (B. Com.) et de la maîtrise en administration des affaires (MBA), dont les membres se sont réunis pour célébrer les 50 ans qui se sont écoulés depuis l’obtention de leur diplôme de l’Université º£½ÇÉçÇø. L’événement a commencé sur le campus par un cocktail matinal et un toast de la doyenne Yolande Chan. Par la suite, les diplômés et diplômées ont assisté au dîner du jubilé au Fairmont Le Reine Elizabeth, qui mettait à l’honneur l’ensemble des diplômés et diplômées qui célébraient leur anniversaire d’or.

Ce soir-là, la cohorte du B. Com. de 1975 s’est rassemblée pour un souper privé au restaurant Le Club Chasse et Pêche organisé par Michael Culver et Bruce White, qui ont rassemblé tout le monde. M. Culver et M. White ont remis des prix de présence (offerts par la Faculté de gestion Desautels de l’Université º£½ÇÉçÇø), et toutes les personnes présentes ont reçu une épinglette spéciale du 50^e anniversaire pour commémorer cette réunion. Les camarades de classe se sont rassemblés dans le même état d’esprit qu’il y a cinquante ans, marqué par la curiosité, le dévouement et la fierté de faire partie de la Faculté de gestion Desautels de l’Université º£½ÇÉçÇø.

D’autres cohortes se sont aussi réunies de leur côté un peu partout à Montréal pour commémorer des jalons, alimentant les célébrations et le sentiment d’appartenance qui régnaient tout au long de la semaine. Citons notamment les rassemblements du B. Com. de 1995 au Zoelle; du B. Com. de 2015 au Gert’s (organisé par Drew Bard Varges); du MBA de 1975 à la Thomson House, à l’Essence Club et aux 3 Brasseurs (organisés par Victor Jones, Robert Carrière, Yvan Beique, Sudipta Maitra et Huneid Vakharia); du MBA de 1985 au Philinos (organisé par Silvio Marsili et Jane Savage); et du MBA de 2015 (organisé par Enrico Cremonese).

Éducation permanente

Des diplômés et diplômées ont assisté à Travailler dans la joie, un cours de maître interactif captivant axé sur la réflexion personnelle approfondie et les relations précieuses dirigé par la professeure Anita Nowak, B. Com. (1997), Ph. D. (2011) et Jonathan Goodman, B.A. (1989), LL. B./B.C.L. (1993), MBA (1994). Ceux et celles qui n’ont pas pu y assister en personne peuvent . Découvrez des pratiques fondées sur les connaissances qui augmentent le plaisir, la résilience et le rendement dans le milieu des affaires en constante évolution.

En soirée, le Comité consultatif international pour l’avancement de la Faculté de gestion Desautels a tenu un souper au Cercle universitaire de l’Université º£½ÇÉçÇø, où des étudiants et étudiantes à la maîtrise ont présenté leurs projets d’apprentissage par l’expérience et les connaissances qu’ils en ont tiré. Il s’agissait de Selina Ved, de Rafael de Quieroz Rangel, de Meghan Markowski, d’Arturo Medina, d’Alexandre Courtis et de la diplômée Ananya Nair, B.A. (2021), maîtrise en gestion (2022). Toutes ces personnes ont présenté des idées et des recherches novatrices qui reflètent l’étendue et la diversité des programmes d’études supérieures de la Faculté de gestion Desautels.

« Mes relations et mon réseau m’ont fait progresser encore plus que mes cours », affirme Mme Nair, diplômée de la maîtrise en analytique de gestion. Elle occupe maintenant un poste haut placé dans le cadre duquel elle utilise les données et la stratégie pour générer des retombées. « Je dis toujours aux gens qui entrent dans le programme qu’ils ont maintenant accès à un réseau immense. »

Mme Markowski, étudiante à la maîtrise en gestion du commerce de détail, a ajouté : « Je sais que je peux étudier et que je peux avoir de bonnes notes, mais la vraie question est la suivante : est-ce que je pourrai mettre en pratique ce que j’ai appris dans le monde réel? »

Leurs commentaires ont mis en lumière le fil conducteur de la semaine : les relations entre le corps étudiant et les personnes diplômées, et l’importance des apprentissages qui ne se limitent pas à la salle de classe.

Table ronde sur la carrière après le MBA

Le vendredi, la table ronde sur la carrière de la cohorte du MBA de 2015 réunissait neuf diplômés et diplômées : Amanda Battist, Adrienne Jung, Dave Pollicino, Enrico Cremonese, Chafik Hamad, Matthew Certosini, Mario Rojas, Marcial Solis et Nitin Kalla. Ils sont revenus à la Faculté de gestion Desautels afin de discuter de l’évolution de leur carrière depuis l’obtention de leur diplôme et pour offrir les leçons qu’ils auraient aimé apprendre pendant leurs études. La discussion a commencé sur un thème familier pour bon nombre d’entre eux : l’incertitude qui entoure souvent les premières étapes d’une carrière. Plusieurs panélistes ont commencé en ingénierie ou dans des domaines techniques avant d’accepter des postes en services-conseils, en finance ou dans une équipe de direction. La transition n’était pas toujours linéaire. En se remémorant l’incertitude du début, M. Hamad explique : « Je ne savais pas que je voulais travailler en services-conseils, ni comment gérer mon temps. Est-ce que je devais tenter d’augmenter ma moyenne cumulative finale ou me concentrer sur la recherche d’emploi? ».

D’autres personnes diplômées ont parlé des objectifs personnels et professionnels qui ont guidé leurs choix à la fin de leurs études. La priorité de M. Cremonese était de s’établir au Canada et d’apprendre à faire son chemin dans ce nouvel environnement professionnel. Mme Jung a rappelé aux étudiants et étudiantes que les personnes qu’ils rencontreront constitueront la valeur la plus durable. Elle a affirmé : « Au bout du compte, les notes n’auront aucune importance, mais vous vous souviendrez de vos relations. »

Plusieurs panélistes ont aussi affirmé que le nom de l’Université º£½ÇÉçÇø continuait d’influencer leur carrière. Mme Battist a expliqué que la réputation internationale de l’Université faisait partie intégrante de son histoire professionnelle. « Quand je travaillais aux États-Unis, la première question que mes collègues posaient était toujours : « Où as-tu étudié? ». Quand je leur répondais que j’avais étudié au Canada, la question suivante était inévitablement : « Es-tu allée à l’Université º£½ÇÉçÇø? ».

Lorsque la discussion a dévié vers ce sur quoi les étudiants et étudiantes devaient se concentrer durant le programme, les panélistes ont soulevé des compétences qui ne se limitaient pas aux cours. « La raison d’être du MBA, c’est de vous aider à bâtir votre histoire », a déclaré M. Pollicino, qui a encouragé les étudiants et étudiantes à « réseauter sans relâche ». M. Solis a ajouté que l’un des principaux avantages du programme était les personnes qui en font partie. Il a mentionné « la possibilité de faire partie d’un groupe diversifié de personnes brillantes », et il a invité l’auditoire à « prendre le temps d’apprendre de toutes ces personnes ».

Leurs expériences reflétaient l’éventail de possibilités que le MBA peut offrir. Certains conseillent aujourd’hui des organisations mondiales, d’autres se sont bâti une carrière en finance et bon nombre d’entre eux dirigent maintenant des équipes hautement performantes dans divers secteurs.

Tout au long de l’après-midi, la cohésion de la cohorte de 2015 était évidente. « Dès que j’ai reçu l’invitation pour me joindre à cette table ronde, j’ai texté le groupe WhatsApp du MBA de 2015, a raconté Mme Battist. Quand j’ai vu combien de personnes seraient à Montréal, j’ai sauté sur cette occasion de renouer avec d’anciens camarades et j’ai pris un vol depuis Amsterdam. » Son histoire témoigne de ce qui rend l’expérience à la Faculté de gestion Desautels unique. Les amitiés nouées dans le programme continuent d’être alimentées, même lorsque les diplômés et diplômées déménagent à l’étranger ou changent d’emploi.

À la fin de la discussion, le sentiment de fierté était palpable dans la salle. M. Hamad a affirmé : « Les programmes de MBA sont maintenant offerts un peu partout, mais la notoriété de l’Université º£½ÇÉçÇø est précieuse. » Ses paroles résumaient l’essentiel de la conversation. Le plus important n’est pas seulement d’obtenir un diplôme, mais de faire partie d’une communauté mondiale qui vous ouvrira des portes, vous inspirera par son leadership et vous permettra de tisser des relations pour la vie.

Retour au bercail

Le samedi, qui était la dernière journée des Retrouvailles, une visite des pavillons a donné aux diplômés et diplômées la chance de redécouvrir le campus et de voir comment la Faculté de gestion Desautels continue d’évoluer. Tout le monde s’est ensuite rassemblé pour une présentation des occasions d’apprentissage par l’expérience. C’est , B. Com. (1975), qui a prononcé le mot d’ouverture. Il a souligné l’importance de l’apprentissage pratique, qui façonne le parcours universitaire, et a présenté son engagement sous la forme d’un généreux don qui a mené à la création du Bureau Lewtas d’apprentissage par l’expérience.

Juliette Elbers, Jordan Caron, Jinjin Lim Siong Kee et Ellie Maniatis comptaient parmi les personnes qui ont présenté leur projet. Mme Lim Siong Kee, étudiante au B. Com. qui obtiendra son diplôme en 2026, a parlé des leçons qu’elle avait tirées de son propre projet. « Un de mes cours m’a montré l’importance de nouer des relations, a-t-elle affirmé. J’ai appris que le succès dépend souvent de notre capacité à tisser des liens avec les gens. »

Les Retrouvailles 2025 étaient une occasion de célébrer les apprentissages, le mentorat et la fierté de toutes les générations. L’an prochain, nous commémorerons les années jalons qui se terminent par 6 et 1. Nous souhaitons remercier toutes les personnes qui ont participé au rassemblement de cette année d’avoir fait de ces Retrouvailles un événement mémorable. Si vous n’avez pas pu y participer, joignez-vous à nous l’an prochain. Nous avons hâte de vous accueillir. Si vous souhaitez organiser la réunion de votre cohorte, communiquez avec nous à l’adresse alumni.mgmt [at] mcgill.ca.

Perpétuez la tradition en renouant avec vos camarades de classe, en offrant du mentorat ou en participant à un événement. Chaque relation élargit votre réseau, vous ouvre de nouvelles possibilités et renforce la communauté qui contribue à votre succès.

Votre contribution participe à changer le monde

Votre don à la Faculté de gestion Desautels contribuera à soutenir nos efforts pour favoriser l’innovation continue, tirer parti de l’excellence et former nos étudiants et étudiantes afin qu’ils deviennent des chefs d’entreprise responsables.